Ruffaud: Une blessure non cicatrisée.

Ruffaud: Une blessure non cicatrisée.

Extraits:
« … Travaillons à ce que l’intérêt général et l’utilité publique puissent se porter acquéreurs si un jour le destin de Ruffaud était à nouveau mis sur la table. De quoi s’agit-il ? De sauver une possibilité : la (re)naissance, un jour, d’un Ruffaud différent. Une mobilisation citoyenne, jointe à un volontarisme des collectivités territoriales concernées pourrait, à condition de se manifester à temps, parvenir à obtenir la réintégration de l’étang dans le patrimoine public et ouvrir de nouvelles perspectives. Après tout, le président du CD, Pascal COSTE en personne, déclarait en mai 2021, quatre ans trop tard il est vrai, lors d’une rencontre avec les membres du Collectif Sauvons Ruffaud :  « Ce serait à refaire, sachant ce que je sais maintenant, je ne l’aurais pas vendu. »[8] 

Oui, Ruffaud, pourrait redevenir un site accessible aux Corréziens de toutes conditions. Réussir à faire la jonction d’un haut-lieu de la mémoire locale et des loisirs populaires avec un étang qui serait réhabilité, resocialisé et rénové répondrait aux besoins des habitants, tout particulièrement ceux qui sont proches du lieu, jeunes comme anciens. Cela se prépare dès maintenant.

Il ne s’agit pas de cultiver la nostalgie d’un monde disparu mais de faire ce qu’il faut pour demain. Les fidèles de Ruffaud n’ont pas dit leur dernier mot. A eux de faire preuve de vigilance, d’inventivité, de détermination et d’esprit de suite. »

Cet extrait est tiré de l’article (20 nov 2022) publié sur le blog de l’association Défense et Respect du Pays de Gimel
: Cinq ans déjà. Une blessure non cicatrisée. 

 

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